Les piscines, c’est du béton !
Dans les années 1970, la construction d’une piscine reposait majoritairement sur l’utilisation du béton armé. Cette technique, empruntée au secteur du bâtiment, garantissait une solidité exceptionnelle, mais nécessitait un savoir-faire spécifique et des coûts élevés. Les piscines de cette époque s’inspiraient souvent des bains romains, avec des structures carrelées, de grands bassins profonds et des systèmes de débordement sophistiqués.
À cette époque, les piscines étaient principalement construites loin de l’habitation et leur entretien restait complexe, avant l’apparition progressive de technologies facilitatrices comme les skimmers et les liners.
Les installations s’emballent avec le plastique
Le début des années 1980 marque un tournant avec l’introduction de matériaux plus économiques et rapides à installer. Le plastique, notamment sous forme de PVC armé ou de coques en polyester, s’impose comme une solution pratique, économique et rapide à installer. Cette évolution rend la piscine accessible à une clientèle beaucoup plus large. Les formes de coques moulées en usine permettent notamment d’accélérer la mise en œuvre tout en réduisant les coûts de fabrication.
Les piscines galvanisées par l’acier
En parallèle du plastique, l’utilisation de panneaux modulaires en acier galvanisé ou ondulé offre une alternative résistante et adaptable et s’impose dans les années 90. Offrant une excellente résistance à la corrosion grâce à son traitement spécifique, il permet la construction de piscines durables, esthétiques et faciles à moduler. Les fabricants proposent alors des kits de panneaux en acier galvanisé, facilitant la pose pour les particuliers et réduisant considérablement les coûts d’installation. Les slogans comme « Faites faire une piscine pour le prix d’une voiture de série » symbolisent la démocratisation de l’accès aux piscines.
La liberté prend forme et s’organise
Avec l’arrivée des nouveaux matériaux modulables comme le pastique et l’acier galvanisé, la piscine s’émancipe du modèle rectangulaire standardisé. Les formes libres gagnent du terrain, tout comme l’implantation des bassins à proximité immédiate des habitations, offrant un meilleur accès et une meilleure intégration paysagère.
Le développement des réseaux d’artisans-pisciniers est également déterminant. Les professionnels français se distinguent de leurs homologues européens en intégrant l’ensemble des métiers nécessaires à la réalisation d’une piscine — maçonnerie, électricité, plomberie — renforçant ainsi leur expertise et leur compétitivité.
Des équipements qui facilitent les baignades
Les années 2000 voient apparaître une nouvelle génération de piscines, plus petites, mais mieux équipées. Les techniques de filtration s’affinent, les systèmes de chauffage deviennent accessibles, et les couvertures automatiques se généralisent. L’usage des abris de piscine, qui permet de protéger l’eau et d’allonger la période d’utilisation, progresse rapidement.
En parallèle, les kits de construction en libre-assemblage rencontrent un vif succès, en réponse à une demande de solutions économiques et personnalisables.
Des piscines modulables et durables
Aujourd’hui, le marché s’oriente vers des piscines plus compactes, épurées et personnalisables. Les bassins se dotent d’escaliers intégrés, de margelles chauffantes, et proposent des parois interchangeables pour varier les styles. L’accent est mis sur la réduction de la consommation d’eau et d’énergie, avec des solutions comme les filtres basse consommation et les panneaux solaires. Avec l’évolution des technologies, la piscine est pensée pour être durable et respectueuse de l’environnement. Les techniques de traitement de l’eau sans produits chimiques, les systèmes de recyclage des eaux grises et les solutions de chauffage écologique sont au cœur des innovations des constructeurs.
Il existe une très large gamme de piscines enterrées, dont les prix démarrent entre 7 000 et 15 000 euros pour celles à installer soi-même, entre 15 000 et 45 000 euros selon les équipements pour les bassins « prêts à plonger » installés par un professionnel et à partir de 30 000 € pour les piscines sur-mesure en béton. Il faudra investir davantage pour réaliser une piscine sur-mesure et particulièrement équipée, avec par exemple une couverture automatique, une pompe à chaleur, un dispositif de nage à contre-courant, un système domotique, etc.
Les piscines, c’est du béton !
Dans les années 1970, la construction d’une piscine reposait majoritairement sur l’utilisation du béton armé. Cette technique, empruntée au secteur du bâtiment, garantissait une solidité exceptionnelle, mais nécessitait un savoir-faire spécifique et des coûts élevés. Les piscines de cette époque s’inspiraient souvent des bains romains, avec des structures carrelées, de grands bassins profonds et des systèmes de débordement sophistiqués.
À cette époque, les piscines étaient principalement construites loin de l’habitation et leur entretien restait complexe, avant l’apparition progressive de technologies facilitatrices comme les skimmers et les liners.
Les installations s’emballent avec le plastique
Le début des années 1980 marque un tournant avec l’introduction de matériaux plus économiques et rapides à installer. Le plastique, notamment sous forme de PVC armé ou de coques en polyester, s’impose comme une solution pratique, économique et rapide à installer. Cette évolution rend la piscine accessible à une clientèle beaucoup plus large. Les formes de coques moulées en usine permettent notamment d’accélérer la mise en œuvre tout en réduisant les coûts de fabrication.
Les piscines galvanisées par l’acier
En parallèle du plastique, l’utilisation de panneaux modulaires en acier galvanisé ou ondulé offre une alternative résistante et adaptable et s’impose dans les années 90. Offrant une excellente résistance à la corrosion grâce à son traitement spécifique, il permet la construction de piscines durables, esthétiques et faciles à moduler. Les fabricants proposent alors des kits de panneaux en acier galvanisé, facilitant la pose pour les particuliers et réduisant considérablement les coûts d’installation. Les slogans comme « Faites faire une piscine pour le prix d’une voiture de série » symbolisent la démocratisation de l’accès aux piscines.
La liberté prend forme et s’organise
Avec l’arrivée des nouveaux matériaux modulables comme le pastique et l’acier galvanisé, la piscine s’émancipe du modèle rectangulaire standardisé. Les formes libres gagnent du terrain, tout comme l’implantation des bassins à proximité immédiate des habitations, offrant un meilleur accès et une meilleure intégration paysagère.
Le développement des réseaux d’artisans-pisciniers est également déterminant. Les professionnels français se distinguent de leurs homologues européens en intégrant l’ensemble des métiers nécessaires à la réalisation d’une piscine — maçonnerie, électricité, plomberie — renforçant ainsi leur expertise et leur compétitivité.
Des équipements qui facilitent les baignades
Les années 2000 voient apparaître une nouvelle génération de piscines, plus petites, mais mieux équipées. Les techniques de filtration s’affinent, les systèmes de chauffage deviennent accessibles, et les couvertures automatiques se généralisent. L’usage des abris de piscine, qui permet de protéger l’eau et d’allonger la période d’utilisation, progresse rapidement.
En parallèle, les kits de construction en libre-assemblage rencontrent un vif succès, en réponse à une demande de solutions économiques et personnalisables.
Des piscines modulables et durables
Aujourd’hui, le marché s’oriente vers des piscines plus compactes, épurées et personnalisables. Les bassins se dotent d’escaliers intégrés, de margelles chauffantes, et proposent des parois interchangeables pour varier les styles. L’accent est mis sur la réduction de la consommation d’eau et d’énergie, avec des solutions comme les filtres basse consommation et les panneaux solaires. Avec l’évolution des technologies, la piscine est pensée pour être durable et respectueuse de l’environnement. Les techniques de traitement de l’eau sans produits chimiques, les systèmes de recyclage des eaux grises et les solutions de chauffage écologique sont au cœur des innovations des constructeurs.
Il existe une très large gamme de piscines enterrées, dont les prix démarrent entre 7 000 et 15 000 euros pour celles à installer soi-même, entre 15 000 et 45 000 euros selon les équipements pour les bassins « prêts à plonger » installés par un professionnel et à partir de 30 000 € pour les piscines sur-mesure en béton. Il faudra investir davantage pour réaliser une piscine sur-mesure et particulièrement équipée, avec par exemple une couverture automatique, une pompe à chaleur, un dispositif de nage à contre-courant, un système domotique, etc.